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En situation de vente en présentiel le diable est dans le détail.
Dans ce qui est vu, entendu, perçu, senti, ressenti et beaucoup de détails nous échappent. J’ai souvent entendu dans cette formation « je vends mieux ce que font les autres que ce que je fais moi-même » et oui c’est souvent vrai.Vendre l’objet ou la création de quelqu’un d’autre n’a pas la même implication que lorsqu’il s’agit de votre propre production. Le doute prend le dessus même si vous êtes convaincu.e de la pertinence de votre pratique ou production, le corps ou le vocabulaire laissent passer des signes de ce doute.
Tant et si bien que dans ma formation « Artiste : vendre sans se vendre » je disais d’emblée qu’il y avait un mot INTERDIT oui carrément parce que je n’en pouvais plus de l’entendre. C’était le mot « petit » ou « petite » : « Mes petites œuvres », « ma petite technique », « mon petit atelier », etc.
Ce mot qui échappe dévalorise ce que vous souhaitez mettre en valeur, décrédibilise ce en quoi vous croyez.
Et il y en a d’autres des mots, des gestes, des regards, une voix mal assurée…
Si vous êtes dans un schéma répétitif, peut-être que c’est parce que quelques choses vous échappe ?
Venez le découvrir et reprendre votre souveraineté !
